Technologies de l'Alliance Interstellaire

L’avènement de l’Alliance Interstellaire a mené au développement de nombreuses technologies et à l’aboutissement de nombreux projets initié par le HomeWorld Security, voir par certaines entreprises privées dans les années précédant la bataille de la Terre.

La plus part des technologie envisagées ici sont à but militaire, les objectifs des états étant au courant du programme Stargate ayant toujours été de découvrir ou développer des moyens de défense de la planète, et si possible de leurs propres intérêts.

Armement à Accélération (ou Propulsion) Electromagnétique

La technologie qui connut le développement le plus massif fut celle des Armes à Propulsion Magnétique. Très vite, ces armes équipèrent l’ensemble des vaisseaux, véhicules et soldats de l’Alliance, modifiants quelque peu les règles d’engagement habituels des armées terrestres.

Le principe des armes à propulsion magnétique est simple. Le projectile, au lieu d’être propulsée à l’aide d’une réaction chimique, est propulsé à l’aide d’un champ magnétique. Non content d’ainsi optimiser les dimensions de la munition (plus besoin de douille ni de charge pour expulser le projectile), l’accélération magnétique permet d’atteindre des vitesses à la bouche sans commune mesure avec l’armement conventionnel.

Le développement de l’armement à propulsion magnétique fut rendu possible par deux facteurs principaux :
• La maitrise, par les ingénieurs et physiciens humains, de la production de mini générateurs au naquadda liquide, capable de fournir l’immense quantité d’énergie nécessaire à l’accélération magnétique,
• La découverte d’un élément particulier, appelé Elément zéro, capable de diminuer, au moment de l’accélération magnétique, la masse du projectile, permettant une accélération plus importante du projectile. Une fois que le projectile a quitté l’arme, celui-ci regagne sa masse originale, tout en conservant sa vitesse initiale.

L’armement à accélération magnétique se décompose en deux classes :
• L’armement équipant les vaisseaux de la flotte de l’Alliance. Ces équipements, utilisés dans l’espace, font atteindre des vitesses quasi relativistes à leurs munitions.
• L’armement terrestre (armes d’infanteries, de véhicules ou d’aéronefs de soutient). Ces équipements n’accélèrent leurs munitions qu’a un facteur 2 ou 3 par rapport à la même arme conventionnelle.

Armement embarqué

L’armement à accélération magnétique embarqué à bord des vaisseaux de l’Alliance forme l’armement principal de ces navires. De plus, afin d’assurer la meilleure polyvalence possible pour les navires, il fut décidé d’utiliser principalement des armes montées sur tourelles afin d’offrir un champ de tir en trois dimensions sans le moindre angle mort. La contrepartie de cette décision est une limitation de la puissance de ces canons par rapport à des armes co-axiales pouvant atteindre des puissances de frappe bien plus importantes.

Les diverses armes embarqués vont de la mitrailleuse 12,7 mm au canon de 500 mm.

Mitrailleuse 12.7 mm modèle M75

Les mitrailleuses de 12.7 mm M75 équipent les chasseurs F303a « Raptor » de l’Alliance. Elles sont inspirées de la célèbre mitrailleuse Browning .50.

Les caractéristiques principales de l’arme sont les suivantes :
• Munition : 12.7*99 mm, 42g, perforant,
• Cadence de tir : 500 coups/min,
• Vitesse à la bouche : 200 km/s,
• Longueur du canon : 1,143 m.

Canon de 20 mm modèle M80

Le canon de 20 mm M80 est conçu sur la base du canon américain M-61 Vulcan. Il s’agit d’un canon multitube reprenant le principe de la mitrailleuse Gatling.

Les canons de 20 mm M80 équipent l’ensemble des vaisseaux de l’alliance. Armes co-axiales sur les chasseurs F303-a « Raptor » et F-303b « Tomcat », ils sont montés en tourelles quadruples sur l’ensemble des autres vaisseaux de l’Alliance.

Leur rôle différent en fonction de l’appareil sur lesquels ils sont montés. En effet, sur les chasseurs ils servent principalement à abattre les bombardiers ennemis, utilisant leur puissance d’arrêt supérieur par rapport à la M75. Sur les vaisseaux de ligne de l’alliance, ils servent autant d’arme anti-chasseur qu’anti bombardier, voir d’arme chargé de surcharger par un tir nourri les boucliers ou blindage ennemis.

Les caractéristiques principales de l’arme sont les suivantes :
• Munition : 20*102 mm, 100g, perforant,
• Nombre de tubes rotatif : 6,
• Cadence de tir : 6000 coups/min,
• Vitesse à la bouche : 300 km/s
• Longueur du canon : 1,827 m.

Canon de 30mm modèle M90

Les canons de 30 mm M90 sont conçus sur la base du canon américain GAU-8 Avenger. Il s’agit d’un canon multitube reprenant le principe de la mitrailleuse Gatling.

Les canons M90 équipent les chasseurs-bombardier F303b « Tomcat » et l’ensemble des vaisseaux de ligne de l’Alliance. Ils sont montées comme armes co-axiales sur les F303-b « Tomcat » et en tourelle double sur l’ensemble des autres vaisseaux de la flotte.

La puissance de feu de ce canon le rend mortel pour tout chasseur ou bombardier connu de l’Alliance. Une rafale brève peut trancher un planeur de la mort en deux et un tir soutenu peut faire de même à un bombardier Al’Kesh.

Les caractéristiques principales de l’arme sont les suivantes :
• Munition : 30*173 mm, 700 g, perforant,
• Nombre de tubes rotatifs : 7,
• Cadence de tir : 4200 coups/min,
• Vitesse à la bouche : 300 km/s
• Longueur du canon : 2,85 m.

Canon de 150 mm modèle F1

Les canons de 150 mm F1 forment le plus petit calibre de l’artillerie principale et d’appoint des vaisseaux de ligne de l’Alliance. Ils composent l’armement principal des frégates de classe « Azincourt » et des destroyers de classe « Beijing » et l’armement d’appoint des croiseurs de classe « Ivan ».

Le concept des canons de 150 est basé sur les canons utilisés par les armées modernes sur les champs de batailles (calibre 155 mm).

Monté co-axialement sur les frégates de classe « Azincourt », ils sont utilisés en tourelle double sur les destroyers de classe « Beijing » et en tourelles quadruples sur les croiseurs de classe « Ivan ».

Les caractéristiques principales de l’arme sont les suivantes :
• Munition : 155 mm, 500 kg, perforant et explosif,
• Cadence de tir : 10 coups/min,
• Vitesse à la bouche 3 000 km/s,
• Longueur du canon : 7 mètres.

Canon de 300 mm modèle F5

Les canons de 300 mm F5 forment le calibre intermédiaire de l’artillerie principale et intermédiaire des vaisseaux de l’Alliance. Ils composent l’armement principal des croiseurs de classe « Ivan » et des porte-chasseurs de classe « Enterprise » et l’armement d’appoint des cuirassés de classe « Richelieu » et des croiseurs de bataille de classe « Indomptable » .

Le concept de ces armes est basé sur les canons de marine de leurs homologues des marines terrestres.

Ils sont montés en tourelles quadruples sur les trois types de navires qu’ils équipent.

Les caractéristiques principales de l’arme sont les suivantes :
• Munition : 300 mm, 800 kg, perforant et explosif,
• Cadence de tir : 6 coups/min,
• Vitesse à la bouche 4 000 km/s,
• Longueur du canon : 13,5 mètres.

Canon de 500 mm modèle F10

Les canons de 500 mm forment le calibre le plus important équipant les vaisseaux de l’Alliance. Ils ne sont utilisés comme artillerie principale que sur les cuirassés de classe « Richelieu » et les croiseurs de bataille de classe « Indomptable ». Sur ces navires, ils sont montés en tourelles quadruples.

Les caractéristiques principales de l’arme sont les suivantes :
• Munition : 500 mm, 1200 kg, perforant et explosif
• Cadence de tir : 4 coups/min,
• Vitesse à la bouche 15 000 km/s,
• Longueur du canon : 25 mètres.

Armement de soutien des forces terrestres

L’armement de soutien des forces terrestres constituent l’ensemble de l’armement embarqué sur les véhicules de soutien des forces armées de l’Alliance.

Mitrailleuse 7,62 mm FN MAM 1 ou FN 1

La mitrailleuse FN 1 sert d’arme d’appuis aux troupes de l’alliance. Son calibre relativement important et sa bonne cadence de feu en font une arme mortelle contre l’infanterie ennemie.

Ses caractéristiques sont les suivantes :
• Munition : 7,62*51 mm, 24 g,
• Vitesse initiale : 1500 m/s,
• Cadence de tir : 650-1000 coups/min,
• Longueur : 1260 mm,
• Capacité : bandes de 200 cartouches.

Mitrailleuse 12,7 mm FN MAM 5 ou FN 5

La mitrailleuse FN 5 est similaire à la M75 équipant les vaisseaux de l’alliance, à l’exception de la vitesse des projectiles qui n’atteint une vitesse que de 1500 m/s.

Les mitrailleuses FN servent de support anti-véhicule légers et anti infanterie pour les armées de l’Alliance. Sa munition de gros calibre et sa vitesse de départ élevée en font une arme terriblement efficace contre ceux dans sa ligne de mire.

Canon de 47 mm

Les canons de 47 mm anti-char sont les plus petites armes anti-char développées par les forces de l’Alliance.

Il s’agit d’un canon semi-automatique disposant d’une capacité de chargement de 5 obus à la fois.

Il est parfaitement indiqué dans la lutte des véhicules légèrement ou moyennement blindés grâce à l’utilisation de projectiles à charge creuse.

Les caractéristiques du canon sont les suivantes :
• Calibre du projectile : 47 mm,
• Longueur du canon : 1,50 m,
• Vitesse du projectile : 1500 m/s,
• Type de projectile : Obus à charge creuse,
• Cadence de tir : 20 coups/min.

Canon de 105 mm

Les canons de 105 mm sont des canons automatiques (capacité 15 obus) équipant les engins blindés de reconnaissance-feu.

Les caractéristiques du canon sont les suivantes :
• Calibre du projectile : 105 mm,
• Longueur du canon : 5 m,
• Vitesse du projectile : 2500 m/s (obus à charge creuse) ou 3000 m/s (obus-flèche),
• Type de projectile : Obus à charge creuse ou Obus-flèche,
• Cadence de tir : 20 coups/min.

Canon de 120 mm

Les canons de120 mm sont capable de ravager les blindés ennemis les plus lourd et une bonne partie des fortifications.

Il s’agit d’un canon semi-automatique, disposant d’une capacité de chargement de 20 obus.

Les caractéristiques du canon sont les suivantes :
• Calibre du projectile : 120 mm,
• Longueur du canon : 7 m,
• Vitesse du projectile : 3000 m/s (obus à charge creuse) ou 4000 m/s (obus-flèche),
• Type de projectile : Obus à charge creuse ou Obus-flèche,
• Cadence de tir : 20 coups/min.

Canons de 155 mm

Il existe deux types de canons de 155 mm :
• Les canons de 155 mm montés sur des châssis de char et formant des canons automoteurs,
• Les canons de 155 mm utilisés comme pièce d’artillerie tractée.

Les caractéristiques du canon de 155 mm automoteur sont les suivantes :
• Calibre du projectile : 155 mm,
• Longueur du canon : 7 m,
• Vitesse du projectile : 3000 m/s (obus à charge creuse) ou 4000 m/s (obus-flèche),
• Type de projectile : Obus à charge creuse ou Obus-flèche,
• Cadence de tir : 20 coups/min.

Les caractéristiques des pièces d’artillerie sont les suivantes :
• Calibre du projectile : 155 mm,
• Longueur du canon : 10 m,
• Vitesse du projectile : 5000 m/s (tout projectile),
• Type de projectile : Obus à charge creuse, Obus-flèche, Obus explosif, Obus à charge spéciale, Obus thermobarique,
• Cadence de tir : 10 coups/min.

Armement personnel de l’armée de l’Alliance

Depuis le début de l’exploration de la galaxie par les terriens, plusieurs des ennemis découverts par-delà les étoiles ont remis en question certaine des doctrines militaires terriennes en usage dans les armées modernes.

La principale doctrine qui fut remise en question fut l’utilisation de munition de bas calibre concue pour blesser, typiquement la munition de calibre 5.56 OTAN. En effet, l’utilisation de cette munition répond à deux objectifs :
• Une munition plus petite et moins lourde permet une autonomie en munition plus grande des soldats,
• La 5.56 OTAN est sensée blesser une cible et non la tuer, suivant l’adage : « Un mort enlève un soldat du champ de bataille, un blessé en enlève trois ».

Or, si l’autonomie en munition reste un facteur important, les ennemis affrontés par les équipes SG d’abord, puis par les autres forces terrestres ont montré deux choses :
• Les munitions de petits calibre sont insuffisante pour neutraliser la plus part des ennemis rencontrés :
• L’armure des jaffas les protège de tels projectiles (ceux si se brisent contre le naquadda),
• Les Wraith régénèrent trop vite les blessures infligées,
• Les Robots Orglons sont trop résistants.
• La plupart des ennemis rencontrés ne se préoccupent pas de leurs blessés.


Devant ce fait, il fut décidé de cesser, pour l’armée de l’Alliance, la production et l’approvisionnement en munition de bas calibre. Une homogénéisation des calibres fut également décidée, donnant lieu à la répartition suivante (entre parenthèse, l’équivalent actuel) :

Arme de poing :
• Calibre standard : 9mm parabellum,
• Calibres particuliers : 11,43 mm (0.45 ACP) ou 12,7 mm (0.50 Action Express),
Pistolets mitrailleurs :
• Calibre standard : 9 mm parabellum,
• Calibres particuliers : 11,43 mm (0.45 ACP).
Fusils d’assaut :
• Calibre standard : 7,62 mm (7.62 OTAN),
Fusils de précision :
• Calibres standards : 7.62 mm (0.308 Winchester), 12,7 mm (0.50 BMG),
Mitrailleuses d’appuis :
• Calibre standard : 5,56 mm (5.56 OTAN). [1]

De nouvelles armes furent également conçues pour utiliser le développement de l’armement électromagnétique.

Une des retombées immédiate de l’utilisation de calibre plus imposant fut l’augmentation du poids des armes et de leur taille, notamment pour les fusils d’assaut. Néanmoins, les munitions étant désormais dépourvues de douille et de charge explosive ont contrebalancé ce processus par le gain de place et de poids en découlant.

[1] Si ce point peut sembler contradictoire avec ce qui est avancé précédemment, il n’en est en fait rien. Les mitrailleuses d’appuis ont un rôle de tir de suppression, rôle dans lequel la 5.56 OTAN s’avère parfaite.

De l’informatique à la science cognitique

L’informatique était une des discipline scientifique et industrielle se portant le mieux avant l’irruption des Orglons.

Les recherches pour concevoir et développer des circuits imprimés toujours plus petit et augmenter toujours plus les capacités de calcul progressaient, malgré l’atteinte de limite physique patente. Les grands groupes industriels progressaient dans le développement d’intelligence artificielles fonctionnelles et le commerce des robots commençait à décoller hors de sa zone de naissance (le Japon).

Il est intéressant de noter que ce secteur, contrairement à l’aéronautique ou l’énergie, était de ceux que les retombées du projet Stargate avaient le moins toucher. En effet, le niveau technologique en informatique des divers peuples rencontrés par les terriens jusqu’alors (à de rares, et mortelles, exceptions prêt) n’avait rien de révolutionnaire.

Tout changea avec l’invasion Orglon, et, surtout, avec les contacts technologiques avec les Anges et leurs alliés. En effet, ces derniers disposent d’une technologie informatique bien au-delà de ce que l’Humanité était encore capable de concevoir.

Tout commença par la conception, par les ingénieurs de l’entreprise US Robotics, du premier cerveau positronique en l’an 2025. Cette révolution technologique permis la mise en branle d’évolutions majeurs, tant dans les applications de la robotique, que dans la façon même de concevoir l’informatique.

En effet, les informaticiens et autres ingénieurs concevant le matériel informatique travaillaient à l’époque des matériaux bruts. Avec le cerveau positronique, ils manipulaient ce qu’il y avait de plus proche, dans le monde artificiel, d’un cerveau humain. Peu à peu, la science informatique devint la science cognitique.

A la base du développement : les 3 lois de la Cognitique

Créées et rendu célèbre par Isaac ASIMOV dans son cycle des robots, les trois lois de la robotique furent étudiées par les ingénieurs travaillant sur l’intelligence artificielle. Après l’invasion Orglon et la découverte du cerveau positronique, elles furent modifiées et insérées dans chaque support positronique civil, avant même les programmations de base.

Ces trois lois sont les suivantes :

- 1ère loi : une entité cognitique ne peut porter atteinte à un être humain, ni, en restant passif, permettre qu'un être humain soit exposé au danger ;
- 2éme loi : une entité cognitique doit obéir aux ordres qui lui sont donnés par un être humain, sauf si de tels ordres entrent en conflit avec la première loi ;
- 3éme loi : une entité cognitique doit protéger son existence tant que cette protection n'entre pas en conflit avec la première ou la deuxième loi.

Néanmoins, ces trois lois empêchent l’utilisation de la technologie cognitique a des fins militaires. Peu désireux de se passer d’un tel outils, mais parfaitement conscients des risques, les militaires de l’Alliance firent mettre au point leurs propres version des trois lois, permettant l’utilisation offensive ou défensive d’entité cognitique, tout en réduisant le plus possible la probabilité de « révolte cognitique ». La réécriture des 3 lois par les scientifiques militaires de l’Alliance est un secret militaire extrêmement bien gardé.

De l’assistant personnel à l’Intelligence Virtuelle

Le début du XXIème siècle vit l’explosion des assistants personnels du type SIRITM ou CortanaTM pour ne nommer que les plus connues. Ces assistants, une fois appliquée la technologie cognitique, devinrent de plus en plus performant au point de pouvoir gérer l’entièreté des emplois du temps de leur propriétaire, servir de guide dans des musées ou des villes, offrir un soutien technique ou logistique dans toute sorte d’industrie, etc…. A terme, elles devinrent même semi consciente, développant leurs caractères propres à partir des éléments préprogrammés et de leurs expériences utilisateurs.

Devant cette augmentation vertigineuse de l’autonomie et des capacités de ces programmes, elles furent renommées Intelligences Virtuelles (IV) et devinrent vite un élément incontournable de la vie des habitants de l’Alliance, quelques soient leur occupation ou leur lieu de résidence.

Ainsi, on trouve les IV dans tous les domaines de la vie économique, de l’organisation d’une petite exploitation agricole à la gestion du trading Haute fréquence en passant par la planification industrielle ou la réalisation d’opération chirurgicale à distance.

Le Haut Commandement de l’Alliance use également de cette technologie, tant au niveau macroscopique (logistique, organisation, etc..) qu’à l’échelon du militaire sur le terrain (aide à la visée, gestion des réserves de munition, …).

En conclusion, le développement des IV a incroyablement boosté la société humaine, démultipliant à terme les autres avancées technologiques de l’humanité.

Vers l’Intelligence Artificielle ?

Du fait des immenses progrès réalisés dans le cadre du développement des sciences cognitiques et des IV, la question de l’atteinte d’une véritable Intelligence Artificielle se pose.

Le développement, à l’aube de l’année 2030, des premiers androïdes totalement autonome et capable de remplir n’importe quelle mission pouvant être dévolue à un être humain commença à poser de sérieuses questions économique, politiques et éthique à la toute jeune Alliance.

Qui sait, le futur proche verra-t’il le développement d’intelligence cognitique si développées qu’elles pourraient à elle seule, gérer l’ensemble des activités humaines ?